Le Club Diogène 2
Lorsqu’il se réunit au Club Diogène ce soir là, le petit groupe d’amis reverra Monsieur qui les entrainera dans une bien étrange affaire.
Notamment Vayec qui se liera d’amitié et bien plus encore avec une charmante demoiselle qui a pour seul défaut d’être morte.
ALLAN
Le rythme et le style des auteurs rendent l’ensemble d’une lecture agréable, plaisante. L’histoire n’a rien de bien originale en elle-même mais la façon de la narrer la rend indéniablement sympathique.
Je ne parle même pas du format qui est une incitation à la lecture omniprésente.
Les illustrations ainsi que les dessins mis en fond de page lui donnent une originalité fort plaisante…
J’en regrette d’avoir manqué le premier Club Diogène !
ETIENNE
et bien moi j’ai lu le premier et je préfère le deuxième, bien plus original et moins centré sur le fameux Club. Le roman est centré sur un des personnages du Club, Vayec, et son idylle macabre. Malheureusement un peu court mais heureusement à tarif préférentiel, il serait dommage de ne pas passer une heure ou deux avec ce petit Clan des 7 version fantastique.
La Clef d’Argent – Bibliothèque la Lanterne – (Mars 2005)– 140 pages 3.00 € ISBN : 2-908-25447-6
Couverture : de Fernando Goncalvès-Felix
Les récits – tous teintés à des degrés divers de fantastique – qui composent la série du Club Diogène, ont pour cadre le Paris de la fin du XIXè siècle.
Ce qui motive les membres de ce club dans leurs investigations nocturnes, menées en tout bénévolat, c’est avant tout l’ennui, le cynisme et la jobardise.
C’est cet improbable mélange de mal de vivre fin-de-siècle et de burlesque qui donne son ton particulier au Club Diogène.
Dans ce deuxième volume intitulé fort à propos Vilaines Romances, Vayec apprend à ses dépens qu’on ne courtise pas impunément une prostituée fantôme, surtout si son ancien amant était un marin au long cours. Quant à cette chanteuse sur le retour, tout irait pour le mieux avec elle, s’il n’y avait ce prétendant insistant qui trucide allègrement tous ceux qui tentent de s’approcher d’elle. Et d’ailleurs, ce curieux tueur d’amants ne ressemble-t-il pas à Monsieur, le mystérieux initiateur des soirées du club ?
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