Le Horla est le journal d’un personne habitant à Rouen et qui subitement tombe malade, accablé par la tritesse.
Une fois un peu retablie, il decide de partir en voyage, et là il ne ressent plus cette tristesse.
Mais dès qu’il rentre chez la tritesse revient. Un soir il laisse un bouteille plein dans sa chambre, le lendemain elle et vide.
Le heros croit qu’il devient fou. Mais il decouvre que c’est un être invisible : le Horla qui boit l’eau.
Rapidement cet être le possede, l’empeche de sortir. Mais un soir il arrive à lui echappé, l’enferme dans sa chambre et brule sa maison.
Mais le heros se rent compte que le Horla n’est pas mort…
Cette nouvelle est tres facile lire puisque elle ne fait que 40 pages, mais l’histoire – surtout la fin- est un peu obscure; oeuvre de la folie de Maupassant, folie qui aura raison de lui en 1893
Pocket – 42 pages 1.50 € ISBN : 2-266-14705-6
Invisible, indéfinissable, malfaisante, la « chose » rôde déjà autour de lui. L’homme est pris de fièvres, d’insomnies, de cauchemars. L’eau de sa carafe disparaît, la tige d’une rose se brise sous ses yeux, les pages de son livre tournent d’elles-mêmes. Perd-il la raison ? À l’angoisse succèdent la peur et bientôt l’épouvante. Une lutte démoniaque se prépare entre l’homme et cette image maléfique de lui-même qui le dévore peu à peu et s’empare de lui. Qui est cet Autre qui maintenant crie son nom, « le Horla » ? « C’est lui, qui me hante ! Il est en moi, il devient mon âme ; je le tuerai ! »
Le thème de la folie court comme un motif effrayant chez Maupassant que la maladie mentale emportera à l’âge de quarante-trois ans. Mais Le Horla, journal d’un fou, demeure l’Œuvre d’un artiste au sommet de son art, une des plus troublantes de la littérature fantastique.
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