Lune Mauve – Tome 1
Séléné vit seule avec son père en Bretagne depuis que sa mère a disparu de leur vie un matin sans laisser d’explication.
Un jour, son père lui annonce qu’il l’envoie faire ses études au lycée Darcourt, un bahut huppé de Paris. Elle, la petite Bretonne mal fagotée avec un prénom particulier sait déjà qu’elle va avoir du mal à trouver sa place.
Elle s’en rend vite compte en effet, dès la rentrée. Elle aperçoit sa cousine Alexia, la fille la plus populaire du lycée qui va tout simplement la snober comme si elle ne la connaissait pas, puis tout bonnement la dénigrer auprès des autres élèves, » sa cour « .
Séléné trouvera tout de même une amitié sincère chez Nora et Adrien, avec qui elle va pouvoir partager ses petits tracas d’étudiante.
Il y a aussi Laszlo, ce garçon à la beauté surnaturelle qui, elle ne sait pas pourquoi, semble sincèrement s’intéresser à elle, la petite bretonne…
Elle rencontre également une jeune fille aux cheveux gris, qui semble la suivre et lui confie un petit mot disant « ne fait confiance à personne ».
Pourtant elle était avec l’homme qui a essayé de l’enlever et qui aurait réussit si Laszlo n’était pas intervenu.
Puis sa mère qui reprend contact avec elle à travers une lettre, lui indiquant qu’elle lui expliquerais tout le jour de ses 16 ans « là où tout à commencé »
Bref un livre plein de rebondissements mêlant amour, trahison, danger, confiance, mystères etc…
Un premier tome qui m’a beaucoup plu et m’a donné très envie de commencer tout de suite la seconde partie. Je le recommande
Casterman (Janvier 2013) – 416 pages – 15,00€ – 9782203060494
Couverture : Jean Bourget
Un seul coup d’oeil m’avait suffi pour constate que j’étais la fille la plus mal fagotée du bahut. Moi, Séléné Savel, à Darcourt, le lycée le plus snob de Paris ? Je m’y donnais autant de chances de survie qu’une souris lâchée dans un enclos de chats affamés ! J’étais plongée dans mes pensées moroses lorsqu’une élève me bouscula. Là où elle m’avait touchée, la peau me démangeait d’une vibration électrique. Un visage s’insinua dans mon esprit, celui d’un inconnu aux iris aussi verts et froids que ceux d’un serpent, puis il s’effaça aussitôt. Je retins ma respiration. Ma nouvelle vie était sur le point de commencer.
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