Vigo Ravel se rend comme tous les lundis chez son psychiatre situé au dernier étage de la plus haute tour de la Défense lorsque des voix dans sa tête le font sortir en catastrophe du bâtiment et cela juste avant qu’un attentat ne le réduise en poudre.
Effrayé, le jeune homme fuit et ne reviendra que plus tard sur les lieux pour savoir si son médecin a survécu mais le Cabinet médical ne semble avoir existé pour personne sauf pour les deux hommes qui le pourchasseront.
Vigo, schizophrène aux dires des médecins, va tenter de comprendre ce qu’il lui arrive.
Ce roman d’Henri Loevenbruck se situe entre le policier et la science-fiction. Il est mené tambour battant et le jeune schizophrène va découvrir au fur et à mesure de son « enquête » des éléments de plus en plus troublant et de plus en plus inquiétant. Ce sont des pans entiers de sa vie qui vont disparaître !
Un moment agréable de lecture qui se conclut finalement de façon un peu trop banale à mon goût même si cela n’enlève rien au plaisir de l’ensemble.
Le Club – (Janvier 2007)– 461 pages 19.90 € ISBN : 9782286023935
Couverture : David Ognia
Ils lui avaient dit qu’il souffrait d’une schizophrénie paranoïde aiguë. Mais Vigo Ravel le sait : les voix qu’il entend dans sa tête ne sont pas des hallucinations. Ce sont les pensées des gens. Les vôtres
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