Quand un Hobbit, un semi-homme, se retrouve bien malgré lui en possession de l’anneau unique, qui peut entraîner la chute totale et irrémédiable de la terre du milieu, l’aventure ne fait que commencer…
C’est ce qui arrivera à Frodon, qui héritera de l’anneau trouvé par son oncle Bilbo au cours de ces voyages… Sauron, le maître de l’anneau, ignorait jusqu’à l’existence même de ce peuple pacifique s’il en est. Mais maintenant, de ce que fera le jeune homme dépendra l’avenir de tous les peuples.
Il va donc partir en quête, une quête impossible, invraissemblable et effrayante, une quête pour détruire l’anneau unique, et espérer sauver le monde.
Que dire de l’Œuvre qui est considéré (à tort ou à raison n’est pas la question ici) comme à l’origine de la fantasy moderne ? Les aventures de ce jeune Hobbit ont passionné de nombreux lecteurs de par le monde, jeune et moins jeune.
Frodon est un personnage comme on les aime bien évidemment, le héros malgré lui, si l’on peut dire… Destiné à l’origine à une vie paisible dans une bourgade tranquille où jamais rien ne se passe, il devra affronter mille dangers pour tenter de sauver non seulement son peuple mais aussi tous les autres, elfes, nains et hommes : le pire ? c’est que sa victoire entraînera un nouvel avènement des hommes… Son peuple retournera à l’oubli, dont il est déjà victime à l’origine.
Mais plus que tout, cette trilogie pour moi une démonstration (extrême ?) de l’amitié et du courage.
De l’amitié d’abord, car Sam, un petit jardinier que l’on juge assez rapidement un peu simplet (ce qui est réellement le cas) suivra jusqu’au bout « maître Frodon » mais il ne sera pas le seul… Tous les membres de la communauté continueront de lutter ensemble contre le mal qui s’étend…
L’amitié toujours, avec cette alliance contre nature : Gimli, le nain, et Legolas, l’elfe entretiendront une amitié qui n’est pas usuelle entre les deux peuples que bien souvent tout oppose…
Le courage est omniprésent et s’il vous faut quelques preuves, je vous invite à regarder de plus prêt les différentes batailles qui jalonnent le duel entre Sauron et le peuple libre… Pas besoin d’aller plus loin…
Par contre Monsieur Tolkien, qu’avez vous fait du peuple nain ?? On voit bien une communauté détruite (celle des mines de la Moria) mais cela ne représente qu’une petite partie du peuple souterrain et vous ne parler pas du tout de ceux qui ont envoyé ce brave Gimli… Oubli volontaire, ou disparition dans les méandres de l’imagination ?
Donc, pourquoi s’éterniser à présenter une trilogie qui ne cesse de faire parler d’elle ? Il n’y a qu’une chose à faire pour se faire une opinion plus précise : la lire. Bien entendu, le style de Tolkien n’est pas ce qu’il y a de plus « buvable » mais on y arrive, ne lâchons pas prise du fait des longueurs du premier volume et de la kyrielle de personnages, ça se calme après….
Quand un Hobbit, un semi-homme, se retrouve bien malgré lui en possession de l’anneau unique, qui peut entraîner la chute totale et irrémédiable de la terre du milieu, l’aventure ne fait que commencer…
C’est ce qui arrivera à Frodon, qui héritera de l’anneau trouvé par son oncle Bilbo au cours de ces voyages… Sauron, le maître de l’anneau, ignorait jusqu’à l’existence même de ce peuple pacifique s’il en est. Mais maintenant, de ce que fera le jeune homme dépendra l’avenir de tous les peuples.
Il va donc partir en quête, une quête impossible, invraissemblable et effrayante, une quête pour détruire l’anneau unique, et espérer sauver le monde.
Trois Anneaux pour les Rois Elfes sous le ciel,
Sept pour les Seigneurs Nains dans leurs demeures de pierre,
Neuf pour les Hommes Mortels destinés au trépas,
Un pour le seigneur des ténèbres sur son trône
Dans le pays de Mordor ou s’ étendent les Ombres.
Un Anneau pour les gouverner tous, Un Anneau pour les trouver,
Un Anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier
Au Pays de Mordor ou s’étendent les Ombres.
Pocket – (7 novembre 2002)– pages Titre Original : The Lord of the Ring (1954)
En savoir plus
Réédition
Laisser un commentaire