Série en 3 volumes
Une grande guerre approche en cette année 451… Rome, sous le commandement de Flavius Actius, va affronter Attila le Hun. Chacun aura choisi son camp et si l’histoire se souvient des Celtes et des Wisigoths (pour ne citer qu’eux), peu se souviennent que les peuples féériques ont de leur côté aussi choisi leur camp.
C’est ce qui poussera les Elfes à se rapprocher des romains pour repousser de façon définitive l’envahisseur mais il ne sera pas dit que tout se passera comme cela aurait du : deux soeurs elfes, poussées par l’amour, vont s’affronter et mettre en péril l’alliance en place…
Et si les elfes avaient contribués à la guerre entre les romains et les Huns ? Dans cette trilogie, Bruno Falba met en avant un des peuples de féerie car ses représentantes sont susceptibles à elles seules de faire basculer la bataille du fait de leurs différents talents, dont le moindre est pour certaines, de se transformer en un dragon.
Mais l’amour se mêle à l’aventure et notre narrateur va nous montrer que cela n’est pas toujours pour la meilleure des raisons et avec un apport toujours positif…
Avec un luxe de détail, Mike Ratera, aidé de Max, va restituer une ambiance lourde, où une famille d’elfes va se déchirer jusqu’au bout pour le romain.
Cette histoire est l’histoire que nous ne connaîtrons pas du célèbre combat. A vous de le découvrir 😉
Soleil Celtic
Tome 1 : La Dernière Alliance (Mai 2008) – 44 pages – 14,50€ – 9782302001992
Tome 2 : Les Invasions barbares (Novembre 2009) – 42 pages – 14,50€ – 9782302008021
Tome 3 : Les champs catalauniques (Novembre 2010) – 48 pages – 14,50€ – 9782302014657
Scénario : Bruno Falba
Dessin : Mike Ratera
Couleurs : Max
Qui se souvient de cet an de grâce 451 après Jésus-Christ, où sur une longueur de cent lieues et une largeur de soixante-dix, Flavius Actius, le dernier romain, a affronté Attila le Hun et son glaive de Mars ? Qui se souvient de la dernière alliance unissant les peuples de la Gaule romaine pour former l’ultime rempart contre le Fléau de Dieu ? Selon les Gestes, près de 160 000 guerriers ont péri en une journée sur les champs Catalauniques.
Nombreux furent les témoins de ces âges sombres, mais les chroniqueurs se comptent sur les doigts d’une main. J’en fais partie. Et je vais vous conter ce que l’Histoire vous a caché.