Cass et Wilbur sont des excaves comme leur père, et depuis que les russes sont arrivés, les journées sont rythmées par la réduction en poussière de tout Londres avec pour but de retrouver un artefact.
Wilbur, enfant rêveur plongé dans les BD, est persuadé de savoir où se trouve l’artefact et se rend seul à Big Ben, sauvé de justesse de la mort par sa soeur et par un étranger.
L’idée qui vient de surgir de nulle part est une telle tuerie que ça m’effraie d’avoir même pu la concevoir. Elle est désespérée. Un pari sur ce que le vaisseau ne voudra pas faire, même s’il en a envie. C’est tout ou rien. Et c’est pour ça que ça va marcher. J’avais calculé tout faux…
Roman post-apocalyptique, Six jours pour (sur)vivre nous montre le parcours de deux jeunes, en plein milieu de la fin du monde. Les personnages se font entraîner dans un spirale qui va les faire se confronter au mystère mais aussi à une mission qui risque de les dépasser bien vite.
Des longueurs, et une légère incompréhension quand à la situation ayant conduit au monde décrit m’ont un peu perturbé et j’avoue rendu par certains moments la lecture pénible sans compter que certaines attitudes des principaux acteurs me semblent surprenantes, malgré l’environnement dans lequel ils évoluent et notamment ce courage à toute épreuve.
Il s’agit d’un livre jeunesse, et j’attendais probablement plus de ce roman que ce qui est attendu par un public plus jeune.
Seuil (Septembre 2011) – 366 pages – 13,90 € – 9782732447711
Traduction : Yves Sarda
Titre Original : Six Days (2011)
Couverture : Benjamin Carré
Dans un Londres post-apocalyptique, quatre adolescents partent en quête d’une mystérieuse relique très puissante, sur laquelle repose l’avenir de l’humanité.
Ils ont six jours pour combattre les forces du mal
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