Mai 2009, Hannak Osternik travaille pour le très select Courrier Européen. Comment cette jeune et distinguée journaliste se retrouve-t-elle, affolée, dans les toilettes d’un aéroport sénégalais, tentant désespérément de détruire une disquette informatique tandis qu’à l’extérieur, le top des commandos locaux s’explique avec une cohorte de montres belliqueux ?
Jacob Kandahar possède une mémoire totale. Il est capable de jouer et de remporter 30 parties d’échec en simultanées, les yeux bandés. Comment cet homme, réputé pour être le plus intelligent du monde peut-il se retrouver en haut d’une colonne boisée à admirer le château de versailles en pleine construction à la fin du XVIe siècle ?
John O’Brien, physique à la Tarass Boulba, n’a pas son pareil pour se libérer d’une dizaine de mètres de chaînes cadenassées qui le retiennent dans une malle reposnt par trente mètres de fond. Le tout en moins de sept minutes chrono. Comment réagira-t-il en découvrant, au fond de la mer une merveilleuse cité et un être venu d’ailleurs lui tendant la main ?
C’est à une rencontre du 3e type époustouflante que nous convie »Couleurs Spectrales », premier épisode d’ApocalypseMania.
Cette fois, ce ne sont pas des vaisseaux majestueux qui descendent du ciel, mais quatre rayons lumineux. Que cachent-ils ? Qu’annoncent-ils ? Quel destin attend les humains qui osent pénétrer dans leur lumière ?
5 tomes composent le premier cycle, 3 le second. Lu 2/3 dans le second donc difficile de conclure sur ce cycle.
Le plus important avec cette BD est de ne pas s’arreter aux titres de la série ou des tomes devant lesquels je suis déjà passé 20 fois sans m’arreter. Les couvertures ne sont également pas de grandes réussites.
Pour autant, la série gagnerait à être mieux connue, elle développe un bel univers fantastique peuplé de grands mystères qui dépassent l’homme. Ces 4 rayons d’origine manfestement extraterrestre permettent au héros « plus intelligent de la terre » de s’illustrer dans une quête plus large que les shows de barnum dans lesquels on se demande ce qu’il faisait.
De fait, l’intelligence supérieure du héros, sorte de supercalculateur sur pattes, sert et dessert l’intrigue. Elle le place de façon manifeste au centre de l’intrigue, seul à avoir compris la signification des rayons. Par contre, elle tend un peu à rendre l’incroyable invraisemblable quand il découvre des solutions sorties de son chapeau. Ca lasse un peu au bout de quelques tomes surtout que le premier cycle s’aventure loin dans le fantastique dans les denriers tomes. peut etre un peu trop loin à mon gout, ce qui m’a un peu empeché d’accrocher au deuxième cycle.