Infection – Tome 1
Patrice a une vie plutôt insignifiante : un travail dans lequel il ne s’épanouit pas du tout, un réseau familial restreint mais surtout une absence de vie sociale qu’il porte sur lui-même. Alors, lorsqu’il pense trouver son âme soeur en la personne de Mathile, jeune femme récemment arrivée mais ayant elle une capacité de communication importante, il fera le nécessaire pour s’en rapprocher. Et notamment, essayer de comprendre ce qui fait sa vie y compris l’usage de Second Life, ce réseau social qui lui semble tellement loin de ses préoccupations quotidiennes…
Ce titre est le premier d’une trilogie et prend pied entre deux lieux : l’un physique, la Soule, l’autre virtuel, Second Life. Pour ceux qui ne connaîtraient pas Second Life, il s’agit d’un réseau social virtuel, que je pensais d’ailleurs perdu depuis longtemps dans les méandres du web.
Je dois bien avouer que ce roman n’a pas eu sur moi l’effet auquel je m’attendais : le personnage principal m’a semblé par trop aigri et malhabile… J’oserai même dire qu’il m’a paru particulièrement stupide et réfractaire à toute forme de nouveauté avec pour conséquence première de sonner beaucoup trop faux pour que l’on puisse s’intéresser à ce qu’il pouvait ressentir et vivre.
Peut-être aussi parce que je ne me suis jamais intéressé à ce qui fut un évènement il y a un temps, le titre ne m’a pas particulièrement intéressé et je me suis rapidement trouvé perdu parmi les explications qui étaient là pour nous aider à mieux comprendre ce monde alternatif…
Astobelarra – Mozaïk – 371 pages – 16.00€ – 9791090126015
Patrice est tombé amoureux de Mathilde, une jeune femme qui vient d’arriver en Soule. Lui est tout sauf un Don Juan, mais il a plus d’un tour dans son sac, malgré les apparences…
Il va contourner ses défauts rédhibitoires grâce à INterne. Mais il va vite apprendre que tout se paie, en ce bas-monde.
Rencontré dans un monde virtuel en trois dimensions, Beu Smart, un génie digital exauceur de voeux, va se charger de le lui rappeler, en l’entraînant dans une spirale cauchemardesque sans fin…