Deuxième tome de cette série « ado » d’Andréas Eschbach, qui nous fait retrouver les 4 adolescents nés sur mars du premier tome. La colonie dans laquelle ils ont vécu toute leur vie était vouée à disparaitre jusqu’à ce qu’ils découvrent la trace d’une intelligence extraterrestre sous la forme de deux tours en verre bleu, sortie de terre inexplicablement. La démantèlement de la colonie n’est évidemment plus à l’ordre du jour, au contraire, celle-ci s’agrandit considérablement avec l’arrivée de nouveaux scientifiques venus étudier ces tours. Pour les ado, les nouveaux venus comprennent surtout un nouvel ado, fils de l’administrateur haï, qu’ils n’acceptent pas facilement.
Mais l’expansion de la colonie n’est pas du gout de tous et en particulier d’un mouvement qui préconise un retrait pur et simple de mars, tout contact extraterrestre étant porteur de risque pour l’humanité.
Le deuxième tome est ainsi plus sombre, l’intrigue étant liée par les accidents qui surviennent inexplicablement dans lesquels les ados trouvent toute leur place, y compris le petit nouveau. Hommage avoué à Enid Blyton, ce tome est particulièrement bien équilibré entre l’intrigue/le mystère, et les liens qui se tissent entre ce groupe d’ados.
Librairie L’Atalante (26 mai 2004) – 288 pages – 14,50€ – 978-2841722747
Ils s’appellent Elinn, Carl, Ariana et Ronny, ils ont entre douze et quinze ans. On les a surnommés » les enfants de Mars « , car sur Mars ils sont nés, sur Mars ils vivent, chez eux ils s’y sentent. Or en cette année 2o86, l’an 36 depuis les premiers hommes sur la planète rouge, la menace pèse soudain que les autorités de la Terre abandonnent le projet Mars et la cité où vit la petite colonie autonome. Les » enfants de Mars » devront-ils quitter à jamais ce monde qu’ils aiment comme le leur ? Ce n’est pas l’opinion d’Elinn, elle qui continue de croire à l’existence des Martiens contre toute évidence. Certainement elle se joue son cinéma. A moins que…
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